Une équipe de l’Institut de neurosciences de l’université nationale Yang Ming Chiao Tung (NYCU) a mis au jour un mécanisme cellulaire capable d’éliminer des protéines toxiques du cerveau de la mouche du vinaigre. Cette découverte, qui ouvre une nouvelle piste pour le traitement de la maladie de Parkinson, vient de paraître dans la prestigieuse revue de biologie Autophagy.