A partir du 1er août, le seuil limitant à 20%, 30% ou 40% du capital net des entreprises insulaires le montant de leurs investissements en Chine passera à 60%.
C’est là l’une des trois grandes mesures que le gouvernement entend mettre en œuvre pour libéraliser les investissements en direction de la Chine.
Dans certains cas, notamment celui des filiales de multinationales, la limite des 60% ne s’applique pas.
Dans l’opposition, on a critiqué cette mesure qui, souligne-t-on, va accélérer la fuite des capitaux taiwanais vers la Chine, autrement dit la délocalisation des entreprises insulaires.