Des cloisons seront mises à la disposition des artistes sur le toit en terrasse du Village pendant trois mois, puis exposées dans le magasin amiral de la marque australienne dans la capitale.
L’initiative démontre que les graffitis et autres pochoirs au spray, qui restent très rares dans le paysage urbain local, sont ici en passe de perdre leur côté alternatif.
Pour participer au festival et laisser sa marque sur les murs du Village des artistes, les graffiteurs peuvent consulter le site dédié au 2005 Free Art.